| Vous rebutez mes vœux, et me mettez à bout ; |
|
Comment
|
| Et dispensez mes vœux de cette obéissance. |
|
Comment
|
| Que mon âme à ses vœux va feindre de répondre, |
|
Comment
|
| Qu'à nos vœux, par honneur, notre bouche s'oppose, |
|
Comment
|
| Et mon cœur, de vos vœux, fait sa béatitude ; |
|
Comment
|
| Nos vœux, sur des discours, ont peine à s'assurer ; |
|
Comment
|
| Si ce n'est que le Ciel qu'à mes vœux on oppose, |
|
Comment
|
| Cependant, à leurs voeux, votre âme se refuse, |
|
Comment
|
| Mais un Coeur, à leurs vœux, moins facile, et moins tendre. |
|
Comment
|
| Est-ce que de ses voeux, |
|
Comment
|
| Ô çà, veux-tu, Marquis, pour ajuster nos voeux, |
|
Comment
|
| Des vœux que votre Cœur peut souhaiter qu'on m'ôte, |
|
Comment
|
| Il tournerait ses voeux tout d'un autre côté ; |
|
Comment
|
| Je pourrais me résoudre à recevoir ses voeux ; |
|
Comment
|
| Vous étiez hors d'état de recevoir ses voeux, |
|
Comment
|
| Je sais que, sur les Vœux, on n'a point de puissance, |
|
Comment
|
| Et, rejetant mes voeux dès le premier abord, |
|
Comment
|
| Vous n'avez qu'à nous dire où s'attachent vos voeux. |
|
Comment
|
| Et rien n'est si tôt fait, que le choix de nos voeux. |
|
Comment
|
| Mais avant que d'aller plus loin, je sais que je dépends d'un Père, et que le nom de Fils me soumet à ses volontés ; que nous ne devons point engager notre foi, sans le consentement de ceux dont nous tenons le jour ; que le Ciel les a faits les maîtres de nos vœux, et qu'il nous est enjoint de n'en disposer que par leur conduite ; que n'étant prévenus d'aucune folle ardeur, ils sont en état de se tromper bien moins que nous, et de voir beaucoup mieux ce qui nous est propre ; qu'il en faut plutôt croire les lumières de leur prudence, que l'aveuglement de notre passion ; et que l'emportement de la jeunesse nous entraîne le plus souvent dans des précipices fâcheux. |
|
Comment
|
| La mort n'a pas toujours les oreilles ouvertes aux vœux et aux prières de Messieurs les héritiers : et l'on a le temps d'avoir les dents longues, lorsqu'on attend, pour vivre, le trépas de quelqu'un. |
|
Comment
|
| Dispose de mon sort, tout au gré de tes vœux ; |
|
Comment
|
| Si le Don de ma main peut contenter vos voeux, |
|
Comment
|
| Et d'opposer mes vœux à cet Ordre suprême, |
|
Comment
|
| Cet Amant, de vos vœux, jaloux au dernier point, |
|
Comment
|