Messieurs, et si vos vœux ne vont qu'au mariage, |
|
Comment
|
Pour contenter vos vœux, |
|
Comment
|
Pour moi, tous mes efforts, tous mes vœux les plus doux, |
|
Comment
|
Et laisser un champ libre aux vœux du Damoiseau, |
|
Comment
|
Et moi, que si nos vœux doivent paraître au jour, |
|
Comment
|
Et, qui pour tous respects, et toute offre de vœux, |
|
Comment
|
De laisser à vos vœux leur pleine liberté ; |
|
Comment
|
Et que si vous voulez satisfaire mes vœux, |
|
Comment
|
Je me suis reconnue indigne de vos vœux, |
|
Comment
|
Conspirent à troubler les plus chers de mes vœux ! |
|
Comment
|
Tout de nouveau s'oppose aux plus doux de mes vœux, |
|
Comment
|
Je vous joins, dès ce soir, à l'objet de vos vœux. |
|
Comment
|
Puisque après tant de vœux que j'ai blâmés en vous, |
|
Comment
|
Je ne sais pas de vrai quel homme il peut être, s'il faut qu'il nous ait fait cette perfidie, et je ne comprends point comme après tant d'amour et tant d'impatience témoignée, tant d'hommages pressants, de vœux, de soupirs, et de larmes, tant de lettres passionnées, de protestations ardentes et de serments réitérés, tant de transports enfin, et tant d'emportements qu'il a fait paraître, jusques à forcer dans sa passion l'obstacle sacré d'un Convent pour mettre Done Elvire en sa puissance, je ne comprends pas, dis-je, comme après tout cela il aurait le cœur de pouvoir manquer à sa parole. |
|
Comment
|
Je vous avoue, Madame, que je n'ai point le talent de dissimuler, et que je porte un cœur sincère, je ne vous dirai point que je suis toujours dans les mêmes sentiments pour vous, et que je brûle de vous rejoindre, puisqu'enfin il est assuré que je ne suis parti que pour vous fuir, non point pour les raisons que vous pouvez vous figurer, mais par un pur motif de conscience, et pour ne croire pas qu'avec vous davantage je puisse vivre sans péché ; il m'est venu des scrupules Madame, et j'ai ouvert les yeux de l'âme sur ce que je faisais, j'ai fait réflexion que pour vous épouser je vous ai dérobée à la clôture d'un convent, que vous avez rompu des vœux qui vous engageaient autre part, et que le Ciel est fort jaloux de ces sortes de choses. |
|
Comment
|
Et comme sur vos vœux je… |
|
Comment
|
Et comme sur vos vœux je… Que faites-vous là ? |
|
Question
|
Quelle raison aurais-je à combattre vos vœux ? |
|
Question
|
j'ai souhaité un fils avec des ardeurs nonpareilles, je l'ai demandé sans relâche avec des transports incroyables ; et ce fils, que j'obtiens en fatiguant le Ciel de vœux, est le chagrin et le supplice de cette même vie dont je croyais qu'il devait être la joie et la consolation : De quel œil, à votre avis, pensez-vous que je puisse voir cet amas d'actions indignes, dont on a peine aux yeux du monde d'adoucir le mauvais visage ? |
|
Question
|
Et je sais où porter, et mes vœux, et ma main. |
|
Comment
|
Ne soyez point surpris Don Juan de me voir à cette heure, et dans cet équipage ; C'est un motif pressant qui m'oblige à cette visite, et ce que j'ai à vous dire ne veut point du tout de retardement ; je ne viens point ici pleine de courroux, que j'ai tantôt fait éclater, et vous me voyez bien changée de ce que j'étais ce matin ; ce n'est plus cette Done Elvire qui faisait des vœux contre vous, et dont l'âme irritée ne jetait que menaces, et ne respirait que vengeance : le Ciel a banni de mon âme toutes ces indignes ardeurs que je sentais pour vous, tous ces transports tumultueux d'un attachement criminel, tous ces honteux emportements d'un amour terrestre, et grossier, et il n'a laissé dans mon cœur pour vous, qu'une flamme épurée de tout le commerce des sens, une tendresse toute sainte, un amour détaché de tout, qui n'agit point pour soi, et ne se met en peine que de votre intérêt. |
|
Comment
|
Quoi, mon fils, serait-il possible que la bonté du Ciel eût exaucé mes vœux ? |
|
Question
|
je ne me souviens plus déjà de tous les déplaisirs que vous m'avez donnés, et tout est effacé par les paroles que vous venez de me faire entendre ; je ne me sens pas, je l'avoue, je jette des larmes de joie, tous mes vœux sont satisfaits, et je n'ai plus rien désormais à demander au Ciel ; embrassez-moi et persistez je vous conjure dans cette louable pensée ; pour moi je m'en vais tout de ce pas porter l'heureuse nouvelle à votre mère, partager avec elle les doux transports de ravissement où je suis, et rendre grâce au Ciel des saintes résolutions qu'il a daigné vous inspirer. |
|
Comment
|
Mais j'attends, en mes vœux, tout de votre bonté, |
|
Comment
|
Et tourna tous mes vœux du côté de vos charmes. |
|
Comment
|