Monsieur, qu'allez-vous faire de me pendre ?
Écoutez un mot, s'il vous plaît : il est vrai que c'est par mon invention que mon maître est avec votre fille ; mais en le servant, je ne vous ai point désobligé : c'est un parti sortable pour elle, tant pour la naissance que pour les biens. |
|
Question
|
Le Maître que je sers, |
|
Comment
|
Si ton Maître en ce point de constance se pique, |
|
Comment
|
Mais j'avais médité tantôt un coup de maître, |
|
Comment
|
De mon maître ? |
|
Question
|
Bon, allons avertir mon Maître de ceci : |
|
Comment
|
Oui, vous aurez mon maître, et je vous le promets. |
|
Comment
|
Ton maître te fait signe, et veut parler à toi ; |
|
Comment
|
Le grand déplaisir que sent monsieur mon Maître ! |
|
Comment
|
Si de mes actions j'étais tout à fait maître : |
|
Comment
|
Et, quoi qu'un maître ait fait pour te faire enrager, |
|
Comment
|
Je sais bien tes desseins, et l'amour de ton maître ; |
|
Comment
|
Qui vient insolemment de maltraiter son maître. |
|
Comment
|
Si ton Maître au moment ne fût venu lui-même, |
|
Comment
|
Seigneur Suisse, êtes-vous de ce logis le maître ? |
|
Question
|
ne voilà pas mon enragé de maître ! |
|
Comment
|
Va, va, lève le masque, et reconnais ton maître. |
|
Comment
|
A fait qu'il vous obtient pour épouse à mon maître ; |
|
Comment
|
Moi, je vais avertir mon maître de ceci ; |
|
Comment
|
Feignons, pour le jeter sur l'amour de son maître. |
|
Comment
|
J'ai su qu'en ses amours ton maître était trop bien ; |
|
Comment
|
La violente amour qu'elle porte à mon maître, |
|
Comment
|
Nous ne sommes plus sots, ni mon maître, ni moi, |
|
Comment
|
Maître, j'ai voulu… |
|
Comment
|
Maître, j'ai voulu… Maître est dit a Magister, |
|
Comment
|