Sachons un peu, mon gendre, ce que vous avez dans l'esprit. |
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Comment
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Vous avez de l'argent caché ? |
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Question
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Tout ce que je vous puis dire, c'est qu'il y a ici un certain Courtisan que vous avez vu, qui est amoureux d'elle à ma barbe, et qui lui a fait faire des protestations d'amour, qu'elle a très humainement écoutées. |
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Comment
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Est-ce donc vous, Madame, qui avez dit à votre mari que je suis amoureux de vous ? |
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Question
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Mon Dieu, mon Père, vous n'avez pas lieu de vous plaindre ; et l'on sait que vous avez assez de bien. |
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Comment
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Est-ce être votre ennemi, que de dire que vous avez du bien ? |
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Question
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Pour vous, Monsieur, je vous donne le bonjour, et suis fâché du petit chagrin que vous avez eu. |
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Comment
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Au travers de toutes vos grimaces, j'ai vu la vérité de ce que l'on m'a dit, et le peu de respect que vous avez pour le nœud qui nous joint. |
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Comment
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Vous avez été tout rapporter au mari. |
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Comment
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Je suis bien aise de savoir que vous avez de la langue, et cela m'apprendra à ne vous plus rien dire. |
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Comment
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Vous avez à voir là-dessus. |
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Comment
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Vous avez un père qui ne sait ce qu'il dit. |
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Comment
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Que je vous plains, belle Nourrice, d'avoir un mari jaloux et fâcheux comme celui que vous avez ! |
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Comment
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et que vous avez là un vrai visage de santé ! |
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Comment
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Vous en avez toutes les marques. |
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Comment
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Que vous avez du Port envoyé vers Alcmène, |
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Comment
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Vous avez beau faire tous vos efforts. |
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Comment
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Madame, si vous avez à dire du mal de votre mari, dépêchez vite, car il est tard. |
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Comment
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Nous avons entendu votre galant entretien, et les beaux vers à ma louange que vous avez dits l'un et l'autre. |
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Comment
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Vous avez fait sagement. |
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Comment
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Comment vous avez... |
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Comment
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Ce mot me ferme la bouche, et vous avez sur moi une puissance absolue. |
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Comment
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L'autre, que vous avez toujours une querelle toute prête à faire à vos valets dans le temps des Étrennes, ou de leur sortie d'avec vous, pour vous trouver une raison de ne leur donner rien. |
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Comment
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Vous avez fait, Madame, ce que je devais faire, et c'était à moi de vous prévenir. |
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Comment
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Hé bien, puisque les choses en sont venues là, je vous déclare, moi, que je ne quitterai point la passion que j'ai pour Mariane ; qu'il n'y a point d'extrémité où je ne m'abandonne, pour vous disputer sa conquête ; et que si vous avez pour vous le consentement d'une mère, j'aurai d'autres secours, peut-être, qui combattront pour moi. |
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Comment
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