Mais avant que passer, Frosine à ce discours, |
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Comment
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Frosine, doucement ; |
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Comment
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Ainsi mon cœur, Frosine, un peu trop faible, hélas ! |
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Comment
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ma chère Frosine, |
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Comment
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Conseillez-moi, Frosine, au point où je me vois. |
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Comment
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Non, non, Frosine, non ; si vos conseils propices |
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Comment
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Est-il bien vrai, Frosine ? |
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Question
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Frosine, la joie où vous m'acheminez !… |
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Comment
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Ah, ah, c'est toi, Frosine, que viens-tu faire ici ? |
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Question
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Hé bien, qu'est-ce, Frosine ? |
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Question
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Cependant, Frosine, j'en ai soixante bien comptés. |
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Comment
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C'est que je suis obligé, Frosine, de donner à souper au Seigneur Anselme ; et je serai bien aise qu'elle soit du régale. |
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Comment
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Mais, Frosine, as-tu entretenu la Mère touchant le bien qu'elle peut donner à sa Fille ? |
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Question
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Mais, Frosine, il y a encore une chose qui m'inquiète. |
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Comment
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Tu m'as fait grand plaisir, Frosine ; et je t'en ai, je te l'avoue, toutes les obligations du monde. |
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Comment
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que je suis, Frosine, dans un étrange état ! |
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Comment
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Oui, c'est une chose, Frosine, dont je ne veux pas me défendre ; et les visites respectueuses qu'il a rendues chez nous, ont fait, je vous l'avoue, quelque effet dans mon âme. |
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Comment
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Mon Dieu, Frosine, c'est une étrange affaire, lorsque pour être heureuse, il faut souhaiter ou attendre le trépas de quelqu'un, et la mort ne suit pas tous les projets que nous faisons. |
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Comment
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Ah Frosine, quelle figure ! |
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Comment
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Frosine, elle ne répond mot, et ne témoigne, ce me semble, aucune joie de me voir. |
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Comment
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Frosine, quelle rencontre ! |
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Comment
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Frosine, ma pauvre Frosine, voudrais-tu nous servir ? |
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Question
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Sois assurée, Frosine, de ma reconnaissance, si tu viens à bout de la chose : mais, charmante Mariane, commençons, je vous prie, par gagner votre Mère ; c'est toujours beaucoup faire, que de rompre ce mariage. |
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Comment
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