Peut-on, impunément comme vous faites, rompre en visière à la raison ? |
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Question
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Vous faites bien, j'ai tort. |
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Comment
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Vous faites bien, j'ai tort. |
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Comment
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Vos Chemises de nuit, et vos Coiffes sont faites. |
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Comment
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Faites que le flambeau m'éclaire seulement ; |
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Comment
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Car les Femmes y sont faites à coqueter. |
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Comment
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Lorsque vous peignez des Héros, vous faites ce que vous voulez ; ce sont des portraits à plaisir, où l'on ne cherche point de ressemblance ; et vous n'avez qu'à suivre les traits d'une imagination qui se donne l'essor, et qui souvent laisse le vrai pour attraper le merveilleux. |
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Comment
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Il semble, à vous ouïr parler, que ces règles de l'art soient les plus grands Mystères du monde, et cependant ce ne sont que quelques observations aisées que le bon sens a faites sur ce qui peut ôter le plaisir que l'on prend à ces sortes de Poèmes ; et le même bon sens qui a fait autrefois ces observations, les fait aisément tous les jours, sans le secours d'Horace et d'Aristote. |
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Comment
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Levez-vous, et rentrant, faites qu'Agnès descende. |
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Comment
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Puisque chacun en serait content, Chevalier, faites un mémoire de tout, et le donnez à Molière que vous connaissez, pour le mettre en Comédie. |
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Comment
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Fort bien : donnez-le vite, et faites la retraite : |
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Comment
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Faites la révérence. |
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Comment
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faites que mon front soit exempt de disgrâce, |
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Comment
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Je crois… Mon Dieu, sa Sœur, vous faites la discrète, |
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Comment
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En ce cas, Monsieur, je vous dirai franchement que je n'approuve point votre méthode, et que je trouve fort vilain d'aimer de tous côtés comme vous faites. |
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Comment
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Fort bonne, mais par exemple je vous vois tous les mois vous marier comme vous faites. |
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Comment
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Je ne parle pas aussi à vous, Dieu m'en garde, vous savez ce que vous faites, et si vous ne croyez rien vous avez vos raisons : il y a de certains petits impertinents dans le monde, qui sont libertins sans savoir pourquoi, qui font les esprits forts parce qu'ils croient que cela leur sied bien, et si j'avais un maître comme cela, je lui dirais fort nettement, le regardant en face, osez-vous bien ainsi vous jouer du Ciel, et ne tremblez-vous point de vous moquer comme vous faites des choses les plus saintes c'est bien à vous petit ver de terre, petit myrmidon que vous êtes (je parle au maître que j'ai dit) c'est bien à vous à vouloir vous mêler de tourner en raillerie ce que tous les hommes révèrent ; pensez-vous que pour être de qualité, pour avoir une perruque blonde et bien frisée, des plumes à votre chapeau, un habit bien doré, et des rubans couleur de feu (ce n'est pas à vous que je parle, c'est à l'autre) pensez-vous dis-je que vous en soyez plus habile homme, que tout vous soit permis et qu'on n'ose vous dire vos vérités ? |
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Question
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Monsieur, c'est trop d'honneur que vous me faites, et si j'avais su ça tantôt je n'aurais pas manqué de les laver avec du son. |
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Comment
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Aussi vrai, Monsieur, je ne sais comment vous faites quand vous parlez, ce que vous dites me fait aise, et j'aurais toutes les envies du monde de vous croire, mais on m'a toujours dit qu'il ne faut jamais croire les Monsieurs, et que vous autres Courtisans vous êtes des enjôleurs qui ne songez qu'à abuser les filles. |
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Comment
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C'est trop d'honneur que vous nous faites à tous deux. |
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Comment
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Mon Dieu, je ne sais si vous dites vrai ou non, mais vous faites que l'on vous croie. |
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Comment
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Seigneur Alcantor, je vous suis obligé de l'honneur que vous me faites ; mais je vous déclare que je ne me veux point marier. |
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Comment
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Monsieur, que faites vous donc là avec Charlotte, est-ce que vous lui parlez d'amour aussi ? |
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Question
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Allons, Monsieur, faites les choses galamment, et sans vous faire tirer l'oreille. |
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Comment
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Et dans l'occasion mollit comme vous faites. |
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Comment
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